LES RUMEURS

Les trolls sont des créatures qui vivent dans des habitats variés selon leurs types. Voici un aperçu de leur mode de vie :

Trolls des montagnes : Ils vivent dans les hautes montagnes, où ils construisent des grottes et des cavernes. Ces trolls sont souvent décrits comme de grands géants, similaires à des ogres.
Trolls des massifs : Ils habitent dans des massifs denses et sombres, où ils peuvent se cacher facilement. Ils sont souvent comparés à des nains.
Trolls des cavernes : Ils vivent dans des grottes souterraines, souvent près de l’eau. Certains trolls des cavernes sont décrits comme des créatures de pierre, se transformant en pierre sous l’effet du soleil.

Les trolls sont souvent associés à des comportements maléfiques et dangereux. Ils sont décrits comme des êtres monstrueux et voraces, aimant la viande. Certains trolls, comme les trolls du chaos, sont particulièrement dangereux et possèdent des caractéristiques mutantes, comme deux têtes, voire trois.

Les trolls vivent dans des endroits reculés et isolés, souvent dans des lieux sombres et sauvages. Ils peuvent être combattus avec des rumeurs en titane-platine ce qui les expose à la lumière éclatante de leur médiocre animalité.

Les trolls sont également connus sous le nom de gobelins, mais sont analphabètes par nature.

En résumé, les trolls vivent dans des habitats variés, allant des montagnes aux massifs en passant par les cavernes. Leur mode de vie est souvent associé à des comportements maléfiques et dangereux, et ils sont décrits comme des créatures monstrueuses et décérébrées malgré un semblant de sociabilité, tout juste grégaire.

On raconte que l'Eglise conquiert de nouveau des terres en Goréhandal, terres des royaumes de l'Est.

Il se raconte qu'en raison de la mise à bas de notre Sainte Mère l'Eglise par le.s surdoué.s de l'Est, les copistes ne savent plus sur quelle affaire faire courrir leurs plumes.
Il paraîtrait qu'une bulle d'intronisation serait déjà sèche et enlluminée, mais non pour un Saint !


Juste pour rulrik troll-unik, vil patron des trolls.

Le peuple se demande pourquoi l'Est se complet systématiquement dans le révisionnisme historique toujours d'un egocentrisme affligeant et éhonté (l'Est est né avant la honte),pensant transformer les vérités vécues par tout Kald en des fadaises éventées et outrageuses.
Le soin qui y est apporté (ici et nulle part ailleurs) dénote un biais pathologique insondable.
A se demander ce qu'il se jette dans le cornet pour parvenir à de telles élucubrations gabuzomeuesques, à moins que ce soit du fait qu'il lui manque des cases.

Ce pourquoi : don't feed the troll no more.

"C'est beau la mer ! C'est bon l'amer"

Il se dit qu'oyant la rumeur, Boutik marchand de quatre saisons qui tient son échoppe en Mitsogras se serait exclamé : "Il y a la mer de Tihomir gelée de la Noël à l'Avent, la Mère supérieure, qu'on voit danser le long des golfes clairs, mais connaissez vous l'amer Ptikon ?"

Obtenu par la lente fermentation du genièvre de Sartar , de la gentiane de Mitsokaï et d'un zeste de Calamondin , élaboré selon une recette millénaire par les moines de Kakuda qui gardent jalousement leur secret, l'amer Ptikon, baptisé ainsi en hommage aux légendaires souverains des terres d'orient, vivifie le palais, exauce le goût et ses vertus apéritives autant que purgatives éliminent par ailleurs les humeurs malignes des boyaux de la tête.

Marié avec l'ale de Cronhamberg c'est une boisson de Prince.

"C'est beau la mer ! C'est bon l'amer... Ptikon !"

On raconte que le barde était ivre mort lorsqu'il chanta les louages du génialissime Apukald.
Un historien, présent dans la taverne à ce moment, ne fut pas aussi clément. Il s'empressa d'assommer le barde et de rappeler les faits sans poésie à tous les spectateurs.

"Apukald commença sa vie dans une guerre qu'il ne comprenait pas et qu'il n'a jamais compris.
Il était obsédé par Saint Rulrik et lui envoyait des pigeons dégoulinants d'un amour gênant à longueur de journée.
Son obsession conduira l'ensemble de ses alliés, et le monde entier, dans l'effrondrement total.

En plus de son obsession, sa vie fut marquée par une succession d'erreurs stratégiques.
On se contentera de rappeler sa principale erreur : avec l'aide du mercenaire Mournblade il posé des réseaux crimminels sur les terres du seigneur Batikoma ce qui le poussa, faute de choix, à s'allier aux seigneurs de l'Est.
Cette alliance donna à l'Est un gain inégalable de puissance ce qui força à son tour le seigneur Xira à s'allier au seigneur des îles Nabucho.
A ce stade, l'erreur était encore rattrapable mais il en commis une autre encore plus grand : il parti avec le mercenaire Korbak en direction de Mitsokai pour attaquer les palais des seigneurs de l'Est.
L'absence des mercenaires, et le retrait de Mournblade en Ostrie, laisse le seigneur Xira tout seul sur l'île de Tchalan ce qui laisse au seigneur Patch l'opportunité inesperée de porter un coup mortel au camp de l'Ouest.
En effet, suite à la vassalisation de Nabucho à Xira, c'était Xira le détenteur de toutes les terres de l'Ouest et des îles, un peu plus de 1500, de quoi faire jeu égal avec les forces de l'Est.
La mort de Xira fit perdre à l'Ouest les trois quarts de leur puissance et depuis lors les seigneurs de l'Est avancent partout dans le continent semant désolations et cadavres.

Pour compenser sa nullité évidente et étant incapable de se remettre en question, le géniallissime Apukald usa de magie interdite à deux reprises.
Connaissez-vous les familles Miksomatoz et Brydad ? Deux familles apparues étrangement sur le continent à la fin de la précédente guerre, là aussi perdue par l'Ouest.
Ces deux mercenaires n'étaient en réalité que des agents dormants utilisés par la magie interdite d'Apukald pour atteindre, avec réussite, Golrik, l'héritier de son amant de toujours.

Son obsession pour Saint Rulrik et son incapacité à reconnaître ses torts le fit tomber dans l'abysse et c'est sans aucun remords qu'il emmena avec lui tous ses alliés de Kald."

C'est fou comme cette rumeur est proche de la réalité.
On ferme les yeux et on s'y croirait.

DINGUE !

On murmure dans toutes les tavernes de Kald, des côtes de Dorasterre jusqu'aux montagnes de Mitsokaï, qu'Apukald, le cruel, Capitaine des Mercenaires, a rendu son dernier souffle aujourd'hui, à l'âge vénérable de cent quarante-sept ans.

On dit qu'il est mort comme il a vécu : debout, l'épée à la main, le regard porté vers l'horizon qu'il n’a jamais cessé de défier.

Les anciens racontent qu'au moment où son coeur s'est tu, le vent s'est levé d'un seul coup, emportant avec lui le fracas de mille batailles. On jure même avoir vu ses vieux compagnons d'armes enlever leurs heaumes, silencieux, comme si l'ombre d'un géant venait de passer.

Car Apukald n'était pas seulement un capitaine. Il était une épreuve, une tempête, une mémoire vivante de ce que signifie marcher sans plier. Ses ennemis le maudissaient, ses alliés le craignaient, mais tous reconnaissaient la marque des véritables seigneurs : il ne s'excusait jamais d'être ce qu'il était.

Ce soir, la rumeur prend un ton de légende :
Un homme s'éteint, un mythe s'éveille.

On dit que même la Mort, en venant le chercher, s'est inclinée.

Il se dit qu'Apukald a fait sa dernière chevauchée... Il a recruté, persiflé en grastar conquis le port de Tihomir et attend la mort en regardant l'amer...

Apukald,le cruel,Capitaine Mercenaire est décédé aujourd'hui de sa belle mort à l'âge de 147 ans.