LES RUMEURS

Sire Viknar le cruel,Roi de Nizawa aurait gracié Sire Korbak le cruel,Capitaine Mercenaire en fort de Trolejia (47) en Yrédia.

D'aprés les dires de certains, Sire Korbak le cruel,Capitaine Mercenaire aurait miraculeusement échappé à la mort en fort de Trolejia (47) en Yrédia lors d'un affrontement avec Sire Viknar le cruel,Roi de Nizawa, il en aurait perdu ses couleurs.

Il se dit qu'effectivement Mitsokaï ayant été mise en coupe réglée, la bonne chaire se fait rare et si de bonnes âmes pas trop éloignées pouvaient lui adresser quelques poulardes et autres mets succulents susceptibles de passer malgré le brigandage et le blocus que tente d'établir le gland-roi de kald, ils sont remerciés par avance.

Il se dit qu'Apukald prend aussi l'or par millions

A vot'bon coeur.

On raconte qu'Apukald serait un délicieux roublard qui, sous prétexte de faire un sondage, mangerait à l'oeil. C'est que tuer des civils en Mitsokai, ça creuse !
Il pourrait manger le blé des paysans mais à force de tout brûler, il ne reste plus rien pour son gros bidon.
Ne soyez pas timides, Ô seigneurs et mercenaires de Kald, et offrez donc dix fois le montant demandé !

Il se dit que sire Apukald aurait souhaité recueillir l'avis des familles de Kald au sujet de Viknar et ses vassaux.

LA question est la suivante :
Etes-vous persuadé que viknar et ses vassaux ne font qu'un ?
Que ce soit par le truchement de pantins ou par celui du "copinage" qui permet de communiquer sans user de pigeons ni coursier (mais par des voies mystérieuses bannies du créateur) ou encore échanger les identités.

Si oui :
Adressez 5 fois un chargement de 5 unités de nourriture à Apukald

Si vous avez des doutes :
Adressez 3 fois un chargement de 5 unités de nourriture à Apukald

Si vous êtes persuadé que Viknar et ses vassaux respectent la loi de KAld :
Adressez 1 fois un chargement de 5 unités de nourriture à Apukald

Cette mode de consultations permettra de garantir le secret du vote

Qu'on se le dise.

La rumeur se confirme, viknar est un grand KONBATAN et il est désormais évident qu'il faut l'écrire en deux mots.

On raconte que les valeureux de l'Ouest ont tué plus de civils que de militaires depuis le début de la guerre. Un exploit à n'en point douter.

D'aprés les dires de certains, Sire Eleogan le gaillard,Prince d'Avilian aurait péri en massif (161) en Caledra lors d'un affrontement avec Sire Viknar le cruel,Roi de Nizawa.

Selon les dernières nouvelles, on raconte que les bons sont à l'ouest (mais pas complètement) et les couards sans honneur seraient (complètement) à l'est...

De quoi faire perdre à viknar ses dernières notions de géographie.

On raconte qu'ordres et contre-ordres se succèdent sur le port de Badir en Abéda. Le très puissant, très craint et très gland-roi Viknar a déjà, par deux fois, failli s'embarquer dans ce voyage périlleux vers la lointaine Caledra, mais par deux fois il a reculé. On dit pourtant la température de l'eau fort convenable pour un naufrage, mais dès qu'il quitte la terre ferme, le sang du puissant Saigneur se glace, son front "magestueux" se perle et par deux fois il a fallu changer sa garde robe et envoyer son royal froc à la teinturerie d'Ostrie.
Il faut dire que partir seul avec une ramée ridicule de quinze mille gugusses, et sans ses "vassaux" relève, même pour un combattant de sa trempe, de la pure folie. Abandonner les bretelles Patch, quand la ceinture Haltogar est déjà au diable et la bouée Timmamah crevée, c'est risquer de se retrouver cul nu en entrant en Mitsokaï où deux mercenaires armés jusqu'aux dents le guettent ! Des couards sans honneurs bien sûr, mais faut-il risquer de mettre sa vie en péril ? Quand sa destinée est de gouverner Kald d'une main ferme, peut-on raisonnablement se mettre à la merci de deux pitoyables pillards et devoir attendre... combien de temps encore ? Pour revenir à la lumière et occuper enfin ce trône où l'on a placé un servile benêt !

Et c'est sans compter les tempêtes... Jusqu'ici les Dieux ont été cléments mais chacun sait que tôt ou tard leur colère peut se réveiller... Nous partîmes quinze mille mais nous nous vîmes six mille en arrivant au port.