LES RUMEURS

On rapporte, non sans effroi, que le Roi Nabucho, dit le Vil, a fait d’Apukald son jardin des perversions.

Sous prétexte d’y instruire ses pantins — de simples mannequins au départ, façonnés pour le service du royaume — il y aurait insufflé une vie trouble, née de son souffle et de sa vanité. Ces créatures, ni tout à fait humaines ni tout à fait damnées, obéissent à des ordres que nul serviteur de chair n’oserait entendre.

Le Roi, dit-on, les contemple longuement avant de leur enseigner des gestes qu’il prétend divins, mais que les prêtres qualifient d’ignobles. On dit qu’il veut ainsi goûter à sa propre perfection, se vénérant lui-même comme une idole de chair, dans une prière tournée vers le bas plutôt que vers le Ciel.

Les moines de Faldric jurent que les nuits d’Apukald résonnent encore des soupirs de ces pantins sans âme, et qu’à l’aube, le Roi sort blême, comme vidé de lui-même, laissant derrière lui le silence — et le scandale.

On raconte dans les tavernes de Kald qu’espionner la religieuse, c’est risquer d’y prendre goût.
Pas qu’elle vous maudisse, non… pire : elle vous captive.

Il paraît que la Mère a une façon d’écrire qui ferait rougir les poètes et trembler les soldats.
Ses mots piquent comme des lames, caressent comme des prières,
et ceux qui les lisent oublient parfois jusqu’à leurs péchés.

Faites attention, amis : la curiosité, près d’elle, devient un doux vice.

On raconte dans les tavernes aterrées que c'est encore un bas du front qui gagne la tringle à rideaux au jeu du Cékikikalapugross.
Il doit bien se morfondre pour nous livrer cette nouvelle éructation d'inversologie au raz les basse-fosses.

Des murmures laisseraient entendre qu'un assassinat se prépare sur un éminent personnage au Sud.

Il se demande dans les courts de Klad si l'église voudrait elle lever des "croix noires" en menace ou pour les tombes de ses propres soldats ?
Il est bon de se rappeler que c'est assurément l'église qui est au service du peuple de Klad et non l'inverse.


Les armées les plus puissantes sont actuellement les armées des seigneurs suivant :
1 Nabucho Avec 29145 hommes
2 Xira Avec 27650 hommes
3 Patch Avec 35728 hommes
4 Haltogar Avec 24636 hommes
5 Batikoma Avec 24639 hommes
6 Boniface Avec 22322 hommes
7 Vadenorn Avec 7872 hommes
8 Viknar Avec 18784 hommes
9 Tolkia Avec 21183 hommes
10 Timmamahs Avec 11245 hommes
11 Apukald Avec 12759 hommes
12 Amicie Avec 14425 hommes
13 Walrid Avec 2888 hommes
14 Muhammad Avec 2490 hommes
15 Satosh Avec 1453 hommes
16 Jiâa Avec 491 hommes
17 Xamahjie Avec 0 hommes

Il se murmure que l’Église, par la voix de sa Mère supérieure Amicie, a parlé avec une fermeté rare.

On dit qu’elle n’acceptera aucun vol, ni aucune occupation injuste des terres consacrées, fussent-elles en jachères ou couvertes de ronces. Ces domaines, qu’ils soient fertiles ou abandonnés, demeurent sous la garde du Très-Haut et nul ne saurait s’en emparer sans encourir sa colère.

Les rumeurs racontent encore qu’Amicie aurait déclaré :
« Celui qui s’empare d’un bien de l’Église s’empare d’un fardeau qu’il portera jusque dans la tombe. Quiconque refusera d’entendre nos appels trouvera la paix éternelle plus tôt qu’il ne l’imagine - avec nos bénédictions et nos remerciements. »

Les seigneurs des alentours murmurent désormais que les croix noires se dresseront bientôt aux frontières des domaines saints, avertissant chacun de ne point franchir les limites de ce qui appartient à Dieu.

On raconte qu'une mystérieuse et ancienne force – dont les origines dépassent les frontières de Kald – aurait fait reculer les horloges d'une heure de tout le continent Kaldéen.

Les Pantins de l'Ombre

Des murmures s'élèvent jusque dans les cloîtres : l'Église aurait enfin percé à jour les signes d'une sorcellerie interdite, celle qui donne vie à des êtres d'ombre — des pantins sans âme, façonnés pour tromper les vivants et souiller les vérités.
On dit que les coupables sont désormais connus. Leurs noms ont été portés devant Dieu, qui, dans Sa miséricorde, accorde encore Son pardon. Mais qu'on ne s'y trompe pas : Il ne pardonnera pas deux fois.

L'Église observe, et le monde regarde.
Car créer de tels êtres de noirceur, c'est corrompre la parole, trahir la foi du jeu et étouffer le rôle qu'incarne chacun.
Ce n'est plus du divertissement, mais une profanation.

Que cette rumeur soit un avertissement : si ces pratiques renaissent, les prêtres comme les joueurs feront le nécessaire pour faire cesser ces actes impies.

Car semer le mensonge, c'est nourrir le chaos, et dans le chaos, ce ne sont pas les saints qui se tairont, mais les coupables qui crieront.

On raconte qu'une personne se faisant appeler le "petit loup" serait étroitement liée à l'utilisation de sombres pratiques.

On raconte que la famille de Tanaka aurait quitté définitivement Kald. L'histoire de la descente aux enfers de cette famille commença avec un échec retentissant contre la noble famille alors dirigée par Rulrik.

Tanaka aurait demandé a Rulrik un droit de passage pour aller recruter quelques apothicaire en Mitsokai. Rulrik aurait répondu favorablement. Quelques mois plus tard, Tanaka aurait lancé un assaut contre Rulrik. Ce dernier pu rapidement réagir et poursuivi le traître jusqu'au nord de Gallica où il l'occis.

Erwin, descendant de Tanaka a fait son apparition en Yrédia. Il aurait demandé a Rulrik de le laisser en vie et aurait annoncé se retirer de la politique de Kald puis alla en Caledra. Quelques années plus tard, lorsque Golrik, fils du roi Rulrik, aurait été aperçu en Caledra, Erwin, aurait tenté d'assassiner le jeune héritier. Ce fut la encore un échec cuisant. Erwin poursuivra Golrik jusqu'en Al Razzim ou il finit épuisé. Et dut faire une pause. Golrik pu se réfugier en Erylyn.

Très rapidement, Haltogar aurait appris la nouvelle et aurait mis a mort le vil Erwin. Ce dernier quitta Kald en prononçant ses dernières paroles "trois multis"